La Conférence épiscopale mexicaine (CEM) a vivement critiqué, jeudi 20 janvier, la décision du Tribunal électoral de la magistrature de la fédération, the Institution gardienne de la Constitution, à l’encontre de trois évêques et d’un prêtre accusés de prosélytisme lors de elecciones federales de junio de 2021.
La declaración de la CEM interviniente después de la confirmación del veredicto de la cámara superior del Tribunal electoral de la magistratura de la federación (TEPJF) visto nota de los cardinaux, Mons. Carlos Aguiar Retes, archevêque de México y Mons. Juan Sandoval Iñiguez, archevêque é Guadjération.
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Luego les acusaciones, ils n’auraient pas respecté le processus electoral en cherchant à influencer le vote des catholiques et à s’opposer au parti au pouvoir, Morena. Selon le site américain Quid, Monseñor Sandoval Iñiguez aurait appelé, le 1er juin 2021, les catholiques à ne pas voter pour ceux “Qui sont au pouvoir” carro “Llega la dictatura”, évoquant également “A système communiste et socialiste qui enservit”. Il a également déclaré que “Le bien de la famille et de la vie sont en jeu parce que ce gouvernement to adopté the idéologie du gender”.
“La política, una parte de las misiones espirituales de l’Église”
«Au Mexique, il est illégal pour un prêtre de parler de politique publiquement. Les partis politiques ne peuvent pas s’identifier à une église ou une religion “, explica Robert Weis, historien à l’université du Colorado du Nord (États-Unis). Le Mexique est ainsi régi par un système de séparation stricte des Églises et de l’État interdisant le prosélytisme.
Tout en afirmativo hijo respeto des “Decisiones judiciaires des tribunaux du pays”, la CEM refutó fermento ces acusaciones au nom de la liberté d’expression. Elle considere qu’aucun des accusés n’a transgressé le prince de séparation des Églises et de l’État mais simplement décrit la réalité sociale du Mexique. Como el souligne Robert Weis, «Aujourd’hui, la politique est nécessairement une part des missions spirituelles de l’Église. La frontière entre politique et religion est plus floue alors que l’État légifère sur des questiones qui ont trait à la vie ou au mariage par exemple. “
Les évêques mexicains expliquen par ailleurs avoir sollicité le secrétaire à intérieur afin qu’il determine le caractère légal ou non de la condamnation du TEPJF. Ils espèrent que le gouvernement, vainqueur des dernières élections, reconnaîtra que les expressions utilisées par les ministres des cultes n’ont pas dépassé le cadre de la séparation des Églises et de l’État.
Un largo contexto de confrontación entre el État et l’Église
Ces tensions s’inscrivent dans un long contexte de confrontation. “Après la révolution, l’État a cherché dans les années 1920 à prohibir la intervención del clergé en política, precisa Robert Weis. La révolution a établi l’Église catholique en tant qu’opposant politique. “
Élu en 2018, el presidente Andres Manuel Lopez Obrador entretient des Relations ambiguës avec l’Église catholique mexicaine. “Il vient de cette tradition de la revolution tout en s’identifiant comme chrétien”, ajoute l’historien Robert Weis.
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Alors qu’en 1992 la Constitution a reconnu une personnalité juridique à l’Église, le président s’est opposé à un assouplissement de la loi de séparation des Eglises et de l’État in 2018. La même année, il a demandé au pape des excuses pour les “atrocités” commises par l’Église catholique pendant la conquête espagnole. O, dès 1992, Jean-Paul II avait demandé indulto por ces crímenes. Pourtant, le président mexicain n’est pas toujours hostile à l’expression de la foi. Au début de la pandémie, la efigie a brandi une de Vierge et des images pieuses plutôt que d’annoncer des mesures sanitaires.
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