James William Awad, los fundadores de los 111 Private Clubs que han celebrado su fiesta de influencias en un avion nolisé del Sunwing con dirección a Cancún, acusaciones de las empresas aériennes d’avoir “abandonné” y 154 voyageurs au Mexique. El compte même déposer une poursuite contra Sunwing pour «bris de contrat».
Le jeune homme d’affaires controversé de 28 y convoqué les medias à une conférence de presse jeudi matin dans les locaux de son entreprise TripleOne pour faire le point sur le scandale. El avait promis de donner des explications.
«Vous devriez vraiment avoir honte Sunwing, Air Canada et Air Transat. En ce momento, en [prépare] une poursuite pour bris de contrat contre Sunwing”, en la declare d’emblée.
Rappelons que ces Compagnies aériennes avaient refusé de ramener les voyageurs du vol au pays. O, selón les règlements de Transports Canadaelles tiene derecho a rechazar el transporte de un pasajero si elles estiment qu’un individu représente a danger pour avion ou ses passers.
On est tous Canadienses. On fait tous des erreurs, mais abandonner 154 personnes au Mexique, c’est vraiment dangereux.
James Guillermo Awad
Des “incidentes malheureux”
M. Awad a reconnu qu’il y avait eu des “incidents malheureux” à bord du vol, comme de la consommation dell’Alcool et du vapotage. El considère toutefois que les retombées de ces actions ont été «injustes».
Celui qui n’avait à ce jour jamais présenté d’excuses pour les act commis a finalement dit qu’il était désolé au nom des passers qui n’ont pas respecté les mesures sanitaires. «On a pris action et on les a exclus du groupe», at-il poursuivi.
Appelé à s’excuser pour les comportements dangereux pour la securité des passers et de l’équipage, James William Awad a assuré que la fête n’avait duré que quelques minutes. “Si ça avait été si dangereux, le capitaine aurait pris la peine de descendre [faire atterrir] el avion Quand il y avait des turbulences, le capitaine nous a dit de nous asseoir et tout le monde a fait », at-il ajouté.
Par ailleurs, 18 avis de non-conformité ont été remis aux voyageurs de ce vol en lien avec la Loi sur la mise en fortyine, para confirmar la Agence de la santé publique du Canada (ASPC). Elle fait également le suivi des cas présumés de fraude et du non-respect de la quarantaine.
Des 18 avis que l’ASPC a produits, cinq rapports ont été transmis au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) for examen. El DPCP precisa que los expedientes de ces ne visent pas les événements survenus durant le vol dont les images ont fait les manchettes.
«Plusieurs inquêtes sont menées par différentsorganismosrelativementàl’applicationdediverseslois. Todos los expedientes porté à notre atención por uno de ces organismos sueros analizados de conformidad con nuestras directivas y aux principes juridiques aplicables a fin de determinar si des poursuites doivent être intentées. Aucune poursuite n’a encore été intentée dans les dossiers ayant été soumis récemment, puisque cette analysis suit toujours son cours “, ajoute la porte-parole du DPCP Me Audrey Roy Cloutier.
Sur le radar des autorités
La fortuna de James William Awad, aquí possède 17 M $ en propriétés et plusieurs véhicules de luxe, suscita interrogantes de nombreux. En plus d’avoir atrajo la atención de Transports Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada avec les images de sa fête aérienne déjantée, James William Awad est sur le radar des autorités provinciales et fédérales, révélait La Prensa aquí.
En efecto, las autorités procèdent à des vérifications au sujet de M. Awad, notamment afin de determiner si lui ou l’une de ses entreprises auraient pu exercer Certaines activités illégales, après les nameuses informations non vérifiées qui ont circulé sur les réseaux sociaux.
La Oficina de la protección del consumidor (OPC) procède également à des vérifications sur James William Awad, qui ne possède aucun permis d’agent de voyages.
Le jeune homme aussi été mis à enmende par les municipalités de Terrebonne et de Bois-des-Filion pour des infractions liées au bruit, aux noisances et à des travaux d’aménagement effectués sans permis.
En 2015, la Autorité des marchés financiers (AMF) avait réprimandé James William Awad et une de ses entreprises, KJRVS inc., Pour sollicitation illégale d’vestissements.
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