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Sur les réseaux sociaux, la sesión de fotos un tour au lynchage para la marque française de prêt-à-porter Sézane. El video del tiroteo difundido debut janvier sur Instagram semblait pourtant bon enfant: on y voit Guillermina Gutiérrez poser in a rue de Teotitlán del Valle, a bourg indigène du sud-ouest du Mexique.
Cette femme zapotèque d’un cierta edad trae un chaleco verde de la última colección de l’enseigne parisienne qui flashe avec le bleu de sa tenue traditionnelle. Une asistente del fotógrafo la invitación a esquisser des pas de danse sur la chanson El tiempo de las flores, de Dalida. La scène a provoqué la colère des internautes et du gouvernement mexicains, qui dénoncent “La explotación” de la imagen des peuples autochtones.
Démons d’un passé colonial
Le feuilleton aurait pu s’en tenir à cet épisode. Corn, aussitôt, el video réveille les démons d’un passé colonial de “pillages”. «Lescultures originelles traitées comme une vitrine (…) sans respeto, sans éthique “, Látigo, le 8 janvier, sur son compte Instagramla estilista mexicana Manuela «Bupu» Cortés, aquí en révélé cette vidéo, pour laquelle Guillermina Gutiérrez n’a reçu aucune rétribution.
Depuis, sur les réseaux sociaux, les inveectives abondent contra Sézane: “Apropiación cultural”, “sursaut colonial”, “suprématisme”… Dans la foulée, el Institut mexicain des peuples indigènes (INPI) es monté au créneau. “Ces actes renforcent les stéréotypes racistes”, dénonce son communiqué, menaçant d’engager des poursuites. Quant au ministère de la culture, acusa a la marque de “Manipuler, utiliser et exhiber des personnes âgées des peuples originels dans le cadre de sa publicité”.
les “Excusas profundas” exprimées par la fundadora de la marca, Morgane Sezalory, expliquant qu’il ne s’agissait pas d’une video à visée commercial, n’y font rien. “Je réalise, aujourd’hui, que je n’avais pas les connaissances pour me comporter comme j’aurais dû le faire”, escribir un mensaje privé adressé en Bupu Cortés, aussitôt partagé en Internet.
El compte Instagram de Sézane est submergé de commentaires de clientes françaises réclamant des explications. En París, comme à Mexico, el affaire fait boule de neige. Au point que l’enseigne est obligée de se justifier dans la presse hexagonale: «Ces photos étaient destinées unically au journal d’entreprise de la créatrice. “
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